Première Mondiale
Sélection 2018

Our House

Réalisé par Anthony Scott Burns

dim. 22 juillet 2018
16:45

Auditorium des diplômés de la SGWU (Théâtre Hall)

Crédits  

Réalisateur

Anthony Scott Burns

Scénario

Parker Nathan

Interprètes

Kate Moyer, Nicola Peltz, Percy Hynes White, Thomas Mann

Producteur

Wookey Karen, Kim Lee, Katz Martin, Israel Ulf

Direction de la photographie

Goshtasbpour Nazgol

Musique

Korven Mark

contact

ENTRACT FILMS

Canada, Allemagne, États-Unis 2018 90 mins V.O. anglaise
Genre Horreur

Ethan Lightman (Thomas Mann) a perdu ses parents de façon tragique la nuit où, avec deux de ses amis, il a voulu tester une invention : l?électricité sans fil. Trois mois après cette tragédie, Ethan persévère, continuant à parfaire sa machine tout en s?occupant de son jeune frère Matt (Percy Hynes White) et de sa petite s?ur Becca (Kate Moyer). Tous trois sont marqués par le décès de leurs parents, mais voici que ceux-ci reviennent sous la forme de spectres ? une manifestation tout à fait inattendue des ondes électriques. Matt et Becca se réjouissent de pouvoir rétablir une sorte de contact avec maman et papa. Hélas, Ethan comprend que sa machine, ayant accidentellement invoqué le monde de l?au-delà, vient de mettre toute sa famille en grand danger.

OUR HOUSE s?inspire d?un film à microbudget de Matt Osterman intitulé PHASMA EX MACHINA, présenté à Fantasia en 2010. Un film d?horreur indépendant de 2010 qui a déjà droit à un remake, c?est chose rare. Mais le scénariste Nathan Parker (MOON) et le réalisateur Anthony Scott Burns (HOLIDAYS) réinventent littéralement cette histoire pour en faire le portrait de jeunes gens traumatisés. Contrairement au personnage de Cody dans PHASMA EX MACHINA, Ethan n?essaie jamais de « ressusciter » ses parents décédés, et la réaction de Becca et de Matt face aux spectres de la mère et du père ne font que rendre la situation plus dramatique. Le scénario de Parker arrive à faire de nous des membres de la famille Lightman, et nous ressentons leur douleur bien avant qu?elle ne se transforme en terreur. La réalisation de Burns ne trompe pas : c?est bien là un homme qui a longtemps travaillé dans le domaine des effets spéciaux. Les décors fantomatiques apparaissant au dernier acte sont l??uvre d?un grand maître. - Traduction : David Pellerin

Représentations

dim. 22 juillet 2018
16:45

Auditorium des diplômés de la SGWU (Théâtre Hall)